Premières expériences et engrenages : Chapitre 7 Engrenage 2/2

Catégories : Webcam selfie exhibition CBT Ballbusting Selfbondage auto bondage
il y a 1 an

Chapitre 7 : Engrenage 2/2

Je pensai que j’utiliserai maintenant la bougie au vu du temps passé avec ce plug qui m’étirait le cul. La cire avait bien fondue. Mais elle avait d’autres idées.

  • Attache-toi les couilles ! Séparément ! ajouta-t-elle.

Les pinces qui recouvraient mon corps me harcelaient de douleurs erratiques en fonction des mouvements que Ladyscar m’obligeait à accomplir. J’avais pris trop de temps à mettre ces pinces et ce plug et mon excitation retombait. Sans ordre, je frappais plusieurs fois mon gland.

  • Sers-toi du martinet sur tes couilles et ta bite, inscrivit-elle une fois les deux cordelettes attachées. Ne lésine pas, sinon je ne serai pas contente, compléta-t-elle d’un smiley.

Je frappai plusieurs fois dessus avec en retenant cependant mes coups. Il est difficile de se frapper soi-même. On veut retenir sa douleur et en même temps la causer. C’était pour l’utilisation des paddles, fouets, cravaches, cannes et autre objet de ce genre que j’étais excité par une rencontre réelle et en même temps j’en craignais l’instant à tel point que je ne fusse pas encore convaincu de franchir le pas. Malgré mon action timorée, celles-ci rougirent néanmoins et des élancements concluaient chacun de mes coups suivants.

  • Ça ira pour l’instant. Il est temps de vider cette bougie ! dit-elle enfin.
  • Où ? lui demandai-je, cherchant à gagner un peu de temps pour que mes douleurs disparaissent.
  • Où qui ?
  • Où, maitresse ? me corrigeai-je.
  • Uniquement sur le gland. Je veux que la bougie soit posée quasi-dessus. Il devra être totalement recouvert. On ne doit plus le voir. Déjà, tu auras une punition supplémentaire pour avoir oublié mon rang. Tu n’en voudrais une seconde ?

Elle n’arrêtait pas de taper et je passai trop de temps à lire. La cire avait rempli une cuvette très profonde dans la bougie. Pour lui faire plaisir je versai l’ensemble de la cire en recouvrant bien mon gland, ne laissant aucune chance à ce dernier. De la cire s’introduit même dans mon urètre, me blessant une zone qui n’avait jamais souffert de mes exactions personnelles jusqu’à présent. Ladyscar n’arrêtait plus. J’attachai une bouteille entre les deux ficelles attachées à mes couilles. Elle me fit placer de nouvelles grosses pinces, les déplacer, les enlever en tirant dessus ou en frappant avec le martinet. Elle faisait durer la séance bien plus longtemps que je ne l’avais jamais fait. Je souffris encore une demi-heure, alternant pinces, martinet et bougie.

  • Attache-toi les menottes dans le dos ! m’ordonna-t-elle alors que j’’espérais enfin une libération.

Je pris la paire la plus large en faisant attention à mettre la serrure du côté de mes doigts et l’attacha, non sans avoir laissé la clé en évidence sur la table à portée.

  • Maintenant tu vas répondre honnêtement à mes questions.
  • Oui, maitresse, commençai-je, montrant ma soumission.

Les pinces étaient depuis longtemps en place et la bouteille d’eau me tourmentait chaque fois que j’approchai de l’écran pour lire.

  • Je vois que tu aimes souffrir devant ton écran, mais serais-tu d’accord pour que je vienne te voir ?
  • Je ne sais pas encore, lui dis-je franchement.
  • Tu aimes bien qu’on te force la main, n’est-ce pas.
  • Oui, répondis cette fois avec un peu plus de réflexion.

Je savais que la honte que je ressentais après ces séances ne durait pas longtemps. Elle devait être de même nature que celle des addictifs à l’alcool ou à la drogue une fois que ces derniers avaient dessoulé de leur état.

  • C’est bien. Tu enlèves une pince. Celle qui te fait le plus mal si tu y arrives.

Cet ordre était plus sadique qu’il n’en avait l’air et que je ne compris tout de suite. D’abord il m’obligeait à réfléchir, à estimer, et à comparer les différents tiraillements que je ressentais à travers les différents pincements. Cela déclenchait en moi des douleurs que j’avais occultées, mais surtout enlever une pince sans les mains était une vraie gageure. J’en retirai finalement une accessible au niveau de mes côtes par obligation plus que par nécessité ou plaisir.

  • Merci, maitresse, mais les plus douloureuses sont hors de portée.
  • Je sais, répondit-elle sadiquement.

Je regrettai à nouveau qu’elle ne voulut pas brancher son micro et que je sois obligé de lire. Je devais me baisser à chaque fois et la bouteille d’eau en profiter pour remuer d’avant en arrière, heurtant parfois la table principale où l’ordinateur était posé.

  • Je sais aussi que tu es un vrai masochiste, mais avec moi tu va connaître d’autres jeux, comme l’humiliation d’être nu devant tous ces gens, mais beaucoup d’autres encore. Cela nous permettra d’avoir une idée plus précise de tes véritables goûts.
  • Que voulez-vous me faire découvrir d’autres ? lui demandai-je. Maitresse, ajoutai-je à retardement, alors que des gouttes de transpiration coulaient sur mon visage.
Et elle, une véritable dominatrice. Vous avez de la chance.: ce n'est pas si courant.
Publicité en cours de chargement